Julien Sorel, assis sur le toit de la scierie, néglige les machines. Il se promène dans son livre préféré. Son père le surprend, le brutalise, l'arrache à son poste de surveillance, le ramène au foyer et, le lendemain, le traite de chien de lisard. Aujourd'hui, l'injurié a pris une revanche. Comme des chiens que plus personne ne siffle, les « fous de littérature » (il y a des exemples) savent qu'ils ne sont plus seulement des lecteurs ou des liseurs, mais de bons lisards.