Le jeu d'échecs et la littérature ont une analogie de fonctionnement, faisant la part belle à la créativité et à la liberté. Nombreux sont les auteurs qui ont exploité la partie symbolique du jeu d'échec par une stratégie d'écriture où les combinaisons prolifèrent. Nabokov, Perec, Zweig l'ont utilisé d'un point de vue thématique ou structurel : le jeu d'échec est la métaphore même de la création.