La conclusion de cette réédition, qui s'inscrit dans une tradition littéraire machiste toujours vivace, est radicale : pour conserver quelque autorité sur les femmes, il faut les tenir éloignées de la lecture et de l'écriture, c'est-à-dire de la connaissance. Non moins virulentes, les deux réponses publiées ici conjointement éclairent au-delà de la période révolutionnaire les arguments auxquels ont encore recours nombre de nos contemporains.