Davantage de CO2, c'est moins de pauvreté, moins de morts et moins de famine sur la planète.
Depuis 1990 les émissions de CO2 des pays en voie de développement ont triplé, et deux milliards d'êtres humains sont sortis de la pauvreté. Les deux phénomènes sont indissolublement liés.
En favorisant la photosynthèse, le CO2 contribue en outre massivement à la lutte contre la faim dans le monde. Ainsi, l'augmentation de plus de 40 % de sa présence dans l'atmosphère a-t-elle accru à elle seule la production mondiale de céréales de 600 millions de tonnes par an, soit 80 kilos par être humain !
Face à ces avantages, y a-t-il lieu de craindre un réchauffement massif de notre planète ? Les données qui ouvrent le livre montrent sans ambiguïtés que les annonces de hausse brutale qui ont cours depuis trente ans sont démenties par les faits.
Ce qui est certain en revanche, c'est que nous gaspillons des dizaines de milliards d'euros en voulant réduire nos rejets de CO2. Les émissions annuelles de notre pays représentent un dix-millième (1/10000) de la masse de CO2 présente dans l'atmosphère terrestre, et celles de l'Union Européenne un millième (1/1000). Ce que nous faisons ne sert à rien.
Ce livre démonte l'une des psychoses majeures de notre époque, dont il décrit l'origine, les mécanismes et les bénéficiaires.