Au début des années 1980, Martine Maelschalck débute sa carrière de journaliste, sa machine à écrire sous le bras. Elle découvre avec émerveillement un monde qui sent l'encre et le papier, où l'on rédige parfois ses articles sur un coin de table et où les numéros de téléphone fixe valent de l'or. Un univers d'hommes, machos, fumeurs, buveurs, mais bourrés de talent. Vingt-cinq ans plus tard, elle dirigeait la rédaction de L'Écho, pianotait sur son smartphone, partageait ses états d'âme sur Facebook et ses scoops sur Twitter. De toutes ces années vécues au coeur de l'actualité, à travers l'évolution des technologies et des mentalités (#MeToo), les rencontres et les voyages, elle garde de nombreux souvenirs. Par des anecdotes cocasses, tendres, graves ou légères, Martine Maelschalck partage sa passion du journalisme. Martine Maelschalck est diplômée en journalisme (ULB). Elle commence sa carrière comme free-lance à Dimanche-Presse et Libelle et entre à L'Écho (encore « de la Bourse ») en 1985. Elle y suit pendant des années les entreprises belges et les grandes sagas économiques qui secouent le pays. Après un passage dans un cabinet ministériel et à Trends-Tendances de 1999 à 2004, elle revient à L'Écho dont elle sera rédactrice en chef de 2006 à 2013. Elle a quitté le journalisme en 2014 pour entrer dans le monde de la communication.